QUI EST FRANÇOIS DAY?
Est-ce un personnage mythique? Un héros? Un hurluberlu?
On raconte que le jour de sa naissance, l’univers a simplement continué de tourner. Le monde l’a accueilli avec toute la fanfare qui lui était promise – le silence du premier instant.
Déjà dans sa tendre enfance, ce philosophe à ses heures émerveillait la galerie avec ses réflexions profondes sur l’univers. Qui cachait le soleil durant la nuit? Pourquoi ses toutous refusaient-ils toujours de se révolter avec lui quand il devait aller prendre son bain? Quels esprits étranges habitaient la boîte à images, et pourquoi voulaient-ils tous lui vendre du savon?
Armé de ces questions sans réponse, il s’est lancé sur le parcours de l’écrivain pour comprendre la réalité. Aiguisant son crayon une mine à la fois, il s’est jeté sur la page blanche pour lui enlever sa stérilité et lui donner du caractère : le sien! Il lui aura fallu peu de temps pour laisser son trait sur les lignes mais beaucoup plus de courage pour oser s’extirper du tiroir où il se rangeait docilement avant de se jeter dans la fosse aux lecteurs.
Chemin faisant, il aura erré sur les sentiers du théâtre, de la musique, du jeu de rôle et de la création d’univers, tout cela pour trouver sa voix; celle-ci, chancelante mais déterminée, se jeta sur la page pour en réveiller les mots qui y sommeillaient. C’est alors que la chimie du verbe se fit voir et qu’il trouva le courage de s’y lancer, bélier tête première.
Il plongea corps et âme dans les Mouvements de l’univers, du plus infime au plus grand, dans l’Éther même qui compose la création pour tenter de briser le silence qu’il s’était lui-même imposé. Fort de cette confrontation, impassible dans la victoire autant que dans la défaite, il se promit de ne jamais arrêter d’écrire.
Devant lui se dessine maintenant un avenir prometteur mais imprécis, indéfini. C’est par un acte de Vigilance qu’il se relance maintenant dans le vide qui entoure toute création. C’est par espoir que ses mots rejoignents quelques yeux, quelques cerveaux et quelques cœurs qu’il retente l’expérience du mot écrit.
(Février 2016)
On raconte que le jour de sa naissance, l’univers a simplement continué de tourner. Le monde l’a accueilli avec toute la fanfare qui lui était promise – le silence du premier instant.
Déjà dans sa tendre enfance, ce philosophe à ses heures émerveillait la galerie avec ses réflexions profondes sur l’univers. Qui cachait le soleil durant la nuit? Pourquoi ses toutous refusaient-ils toujours de se révolter avec lui quand il devait aller prendre son bain? Quels esprits étranges habitaient la boîte à images, et pourquoi voulaient-ils tous lui vendre du savon?
Armé de ces questions sans réponse, il s’est lancé sur le parcours de l’écrivain pour comprendre la réalité. Aiguisant son crayon une mine à la fois, il s’est jeté sur la page blanche pour lui enlever sa stérilité et lui donner du caractère : le sien! Il lui aura fallu peu de temps pour laisser son trait sur les lignes mais beaucoup plus de courage pour oser s’extirper du tiroir où il se rangeait docilement avant de se jeter dans la fosse aux lecteurs.
Chemin faisant, il aura erré sur les sentiers du théâtre, de la musique, du jeu de rôle et de la création d’univers, tout cela pour trouver sa voix; celle-ci, chancelante mais déterminée, se jeta sur la page pour en réveiller les mots qui y sommeillaient. C’est alors que la chimie du verbe se fit voir et qu’il trouva le courage de s’y lancer, bélier tête première.
Il plongea corps et âme dans les Mouvements de l’univers, du plus infime au plus grand, dans l’Éther même qui compose la création pour tenter de briser le silence qu’il s’était lui-même imposé. Fort de cette confrontation, impassible dans la victoire autant que dans la défaite, il se promit de ne jamais arrêter d’écrire.
Devant lui se dessine maintenant un avenir prometteur mais imprécis, indéfini. C’est par un acte de Vigilance qu’il se relance maintenant dans le vide qui entoure toute création. C’est par espoir que ses mots rejoignents quelques yeux, quelques cerveaux et quelques cœurs qu’il retente l’expérience du mot écrit.
(Février 2016)
Écrivain. Professeur. Scénariste. Dramaturge. Concepteur. Acteur. Idéateur. Rôliste. Cosplayer. Maître de jeu. Tous ces titres, il les porte à ses heures, au gré du moment et selon l'inspiration.
Québécois de naissance, il s'espère citoyen du monde. Voyageur le long du Saint-Laurent durant son enfance, de Montréal à Québec, il a abouti à Sherbrooke au début de son adolescence et a laissé son âme errer dans les méandres de la cité. Titulaire d'une maîtrise en littérature de l'université de Sherbrooke, chèrement acquise et au péril de sa santé mentale, il traîne avec lui cet amour de l'histoire, de l'écriture et des mots depuis sa tendre et moins tendre enfance.
Né François Jean-Louis Desharnais, il s'est lui-même rebaptisé FIDÉ avant même de quitter son primaire, ceci bien avant d'adopter la personnalité écrivaine de François Day, parure qu'il revêt pour présenter au plus grand public possible les idées que la voix sournoise susurre constamment à son oreille forte.
Ses amours sont les lettres et les mots (de toujours, amis autant qu’ennemis); il les présente sans prétention et sans intention précise. Il existe comme il le peut dans leur ombre, prenant un malin plaisir à les détourner et à les retourner contre eux-mêmes.
Il aime également la fiction sous toutes ses formes : réaliste, historique, fantastique, futuriste, surréaliste. Il essaie également de transmettre son amour des langues française et anglaise par l'enseignement qu'il prodigue aux étudiants qu'il a l'honneur de côtoyer, en école privée, en tutorat particulier, à l'université de Sherbrooke (où il a enseigné la théorie des études interculturelles). ou encore aux étudiants du collège Champlain (récipiendaires des différents cours d'anglais qu'il y enseigne).
Il apprécie le jeu sous toutes ses formes. François a monté une quantité impressionnante de jeux de rôles en tous genres, soirées privées entre amis ou activités à grand déploiement, au grand plaisir de tous ses joueurs qui n'ont cesse de lui en redemander.
(Novembre 2014)
Québécois de naissance, il s'espère citoyen du monde. Voyageur le long du Saint-Laurent durant son enfance, de Montréal à Québec, il a abouti à Sherbrooke au début de son adolescence et a laissé son âme errer dans les méandres de la cité. Titulaire d'une maîtrise en littérature de l'université de Sherbrooke, chèrement acquise et au péril de sa santé mentale, il traîne avec lui cet amour de l'histoire, de l'écriture et des mots depuis sa tendre et moins tendre enfance.
Né François Jean-Louis Desharnais, il s'est lui-même rebaptisé FIDÉ avant même de quitter son primaire, ceci bien avant d'adopter la personnalité écrivaine de François Day, parure qu'il revêt pour présenter au plus grand public possible les idées que la voix sournoise susurre constamment à son oreille forte.
Ses amours sont les lettres et les mots (de toujours, amis autant qu’ennemis); il les présente sans prétention et sans intention précise. Il existe comme il le peut dans leur ombre, prenant un malin plaisir à les détourner et à les retourner contre eux-mêmes.
Il aime également la fiction sous toutes ses formes : réaliste, historique, fantastique, futuriste, surréaliste. Il essaie également de transmettre son amour des langues française et anglaise par l'enseignement qu'il prodigue aux étudiants qu'il a l'honneur de côtoyer, en école privée, en tutorat particulier, à l'université de Sherbrooke (où il a enseigné la théorie des études interculturelles). ou encore aux étudiants du collège Champlain (récipiendaires des différents cours d'anglais qu'il y enseigne).
Il apprécie le jeu sous toutes ses formes. François a monté une quantité impressionnante de jeux de rôles en tous genres, soirées privées entre amis ou activités à grand déploiement, au grand plaisir de tous ses joueurs qui n'ont cesse de lui en redemander.
(Novembre 2014)